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AFFAIRE DUTROUX: Ils se sont servis de moi....
18 mars 2021

Petit résumé de mon histoire

complot

AFFAIRE DUTROUX: Ils se sont servis de moi ...
Je m'appelle Philippe AOUALI ; je suis français et j'ai été injustement associé à l'affaire DUTROUX. La gendarmerie belge s'est servi de moi pour faire échouer l'instruction du juge CONNEROTTE en charge à l'époque du dossier DUTROUX.
Mon histoire s'inscrit dans l'épisode des "voitures blindées", lorsque le juge CONNEROTTE et le procureur BOURLET ont bénéficié d'une protection rapprochée de la part de la gendarmerie belge. Cet épisode est mal connu du public car très peu médiatisé. J'ai été injustement accusé de vouloir tuer les deux magistrats instructeurs. Il s'agissait en fait pour la gendarmerie belge de mettre le juge CONNEROTTE "sous cloche" afin de surveiller son instruction.
Mes problèmes débutent par un simple conflit avec Christine HAYON, une belge avec qui je sortais. Celle-ci est tombée enceinte au bout de seulement un mois et a décidé de garder l'enfant malgres mon opposition. Elle avait décidé de faire un enfant seule et entendait bien m'écarter de tout. Je ne souhaitais pas d'enfant car notre relation était très instable, nos personnalités trop différentes. Ayant eu une enfance malheureuse, je ne voulais pas que mon fils grandisse sans son père. A la naissance de mon fils, j'ai donc entrepris des démarches pour obtenir des droits de visite. C'est à ce moment précis que mes ennuis ont commencé.
Christine HAYON a reçu le soutien inconditionnel de ses parents mais aussi du gendarme RENKIN Alain avec qui elle avait des liens de parenté. Ce gendarme faisait partie de la cellule DUTROUX de Neufchâteau en Belgique (comme par hasard...). Forte de ses soutiens, elle a monté un complot contre moi afin de me faire passer pour un membre de la bande à DUTROUX. D'abord accusé d'avoir enlevé deux adolescentes à Bouillon (ce qui s'est révélé être une simple fugue), j'ai ensuite été accusé de vouloir tuer le juge CONNEROTTE et le procureur BOURLET. J'ai été emprisonné pour rien. J'ai ensuite fait l'objet pendant plusieurs années d'un acharnement judiciaire de la part des autorités belges. Le but étant de me faire quitter le territoire belge. Je peux aujourd'hui dire que j'ai été victime de racisme anti-français mais aussi de racisme de par mes origines kabyles.

 

Je ne suis pas un affabulateur; je suis quelqu'un de sérieux. Pour preuve, l'Etat Français a changé mon nom de famille suite à cette affaire. Je possède bien sûr de nombreux documents accablants pour la Belgique.
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